LES PIECES RADIOPHONIQUES
TRACASSERIES AU GUICHET 1
Sketches absurdes de Pierre BASSOLI
1ère série
LES RENSEIGNEMENTS – TOUTES OPERATIONS – CONFUSION – L'HEURE EXACTE – COMME MOLIERE
durée: 15 minutes
Il est arrivé à chacun d'entre nous de se trouver à un guichet de la poste, d'une banque ou d'une quelconque administration et d'être confronté à une situation inextricable. Incompréhension , mauvaise volonté, voire mauvaise humeur du préposé, demande farfelue de la part du client, quiproquos etc...
Ceci est la première partie d'une série de plus d'une trentaine de sketches illustrant cet univers parfois cauchemardesque, quelques fois même kafkaïen.
LE DEPUCELAGE DE JACQUES
D'après le roman Jacques le Fataliste et son maître
de Denis DIDEROT
adapté par Marco POLLI
durée: 24 minutes
Comment s'étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. D'où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l'on sait où l'on va ? Ainsi Jacques et son maître sillonnent-ils la France du XVIIIème siècle au gré du hasard ou de leur fantaisie. Et le maître, friand des anecdotes de son valet de le relancer périodiquement : Et tes amours, Jacques ? Dans cet épisode, donc, Jacques lui narre comment par ruse il perdit son pucelage par trois fois, initié par des femmes qui le prenaient pour plus niais qu'il n'était.
LES MÉFAITS DE LA TÉLÉVISION
Drame absurde (mais pas tant que ça !) de Pierre BASSOLI
durée: 23 minutes
On dit souvent que le présentateur du journal télévisé vient chaque soir, chez vous, pour vous parler des nouvelles du monde. C'est une image, bien sûr, mais certains y croient dur comme fer ! C'est le cas d'Aristide Bornand qui rencontre un jour Frédéric Hugon, présentateur vedette du 20 heures.
S'ensuit alors un harcèlement quotidien fait entre autres d'interventions en direct dans l'oreillette du journaliste. Jusqu'où ira Aristide ? Frédéric finira-t-il par craquer ? Et pourquoi tant d'acharnement ?
EN ATTENDANT MADO
Pièce absurde et un peu délirante de Pierre BASSOLI
durée: 22 minutes
Étrange cet endroit où Emile semble avoir été propulsé. Heureusement, il y a cet homme qui attend sur un banc. Peut-être aidera-t-il Emile à retrouver son chien qu'il a perdu durant sa promenade. Mais il s'avère que cet homme est aussi étrange que l'endroit où ils se trouvent. Les autres l'appellent l'Anonyme, car il ne connaît plus son nom. Mais au fait, où sont les « autres » ?
Au fil des heures on découvrira que l'Anonyme attend Mado. Son amie, ou peut-être son ex-amie ? Comme c'est curieux : Emile a lui aussi connu une Mado. Va-t-elle venir elle aussi ?
Que faire en attendant Mado ? On discute, on s'engueule aussi et on finit par se raconter...
L’horloge de la cuisine (1946)
Traduit et adapté de la nouvelle de Wolfgang BORCHERT
par Marco POLLI
durée: 7:49 minutes
1946, en Allemagne dévastée, n’importe où sur un banc. « Ils le virent arriver de loin, car il ne passait pas inaperçu. Il avait un visage de vieux, mais à sa démarche on voyait qu’il n’avait que 20 ans. Il s’assit avec son vieux visage à côté d’eux, sur le banc. Et il leur montra ce qu’il tenait à la main à ceux qui étaient assis sur le banc au soleil, les regardant l’un après l’autre… C’était l’horloge de notre cuisine. » Le jeune homme de L’horloge de la cuisine (« Die Küchenuhr ») s’accroche à sa montre, tout ce qui lui reste. « Mais elle ne marche plus ! », dit une femme. Oui, mais elle s’est justement arrêtée à deux heures et demie. Comme lui qui ressasse ce moment où sa mère lui préparait à manger. La nuit, je veux dire…
Né à Hambourg en 1921, Wolfgang Borchert a 26 ans lorsqu’il s’éteint dans une clinique bâloise des suites des privations endurées durant ses longs mois de cachot militaire. Pourtant, enfant, il avait des rêves, devenir artiste de cabaret. Il a 15 ans lorsqu’Hitler est élu chancelier, en 1936. Quatre ans plus tard, il est mobilisé. Pas question d’y échapper. Il garde un esprit frondeur, qui lui vaut une première incarcération pour « défaitisme ». Envoyé sur le front de l’Est, accusé de s’être mutilé la main droite pour ne plus pouvoir tirer, il est condamné à mort pour trahison. Peine commuée en cachot. La fin de la guerre le libère malade, constamment fiévreux. C’est dans cette fièvre qu’il écrira ses nouvelles, des manifestes, et sa pièce radiophonique « Devant la porte », narrant les tribulations du soldat Beckmann, un égaré qui revient du front de l’Est après 1000 jours, dans une Allemagne dévastée, tentant d’oublier l’humiliation de la défaite - avec ses questions que personne ne veut entendre. Il faut tourner la page, reconstruire, alors on dénazifie des lampistes.
Le rêve d'un homme ridicule (1877)
Adapté du récit fantastique de Fédor DOSTOÏEVSKI
par Marco Polli
durée: 19 minutes
« Je suis un homme ridicule. Maintenant, ils disent que je suis fou. Ce serait une promotion, s'ils ne me trouvaient pas toujours aussi ridicule. » C’est ainsi que commence la confession d’un homme, déterminé à se suicider, mais qui, à la dernière minute, s’est endormi et a rêvé qu’il était transporté dans un autre monde, « une terre comme la nôtre... absolument pareille », « une terre pas encore souillée par le péché originel, n'y vivaient que des hommes qui n'avaient pas encore péché, ils vivaient dans un paradis semblable à celui dans lequel avaient vécu, d'après toutes les légendes de l'humanité, nos ancêtres pécheurs ». Rêve ou réalité ? Comment en serait-il revenu ? Quel rôle aurait-il joué dans ce paradis originel ?
ESCAPADE EN 1602
D'après un récit d'Armand Lombard adapté pour la radio par Dominique Baertschi
durée: 27 minutes
UN ÉTRANGE TABLEAU
Drame fantastique de Pierre BASSOLI
durée: 19 minutes
Ce sous-bois peint par Boris Swarkowsky intrigue fortement Laurent Charlier le jour où il assiste au vernissage de l'exposition, accompagné de Cécile son épouse. En effet, ce paysage il le connait, ils y étaient une semaine auparavant lors d'une promenade à la campagne. Seulement si lui s'en souvient très bien, elle pas du tout. Et lorsque le peintre leur déclare qu'il a peint ce tableau il y a une vingtaine d'années lors d'un voyage en Pologne et que la silhouette que l'on voit partir au bout du chemin représente son fils, disparu à la même époque, Laurent est au comble de la perplexité. Il se rendra sur les lieux en compagnie de Boris, qui sera impressionné par la similitude du paysage, puis en compagnie de sa femme qui ne se souvient toujours pas être venue à cet endroit. Quel mystère contient cet étrange tableau ? Laurent apprendra, hélas à ses dépends, qu'il aurait mieux valu ne pas s'y intéresser de trop près.
DROLE DE DIANE
Drame fantastique de Pierre BASSOLI
durée: 29 minutes
Diane a disparu depuis trois jours. Ses deux amis Pascal et Bastien se demandent ce qu'elle a bien pu devenir lorsque Pascal, en visite au Musée des Arts tombe en arrêt devant une statue de Diane Chasseresse qui ressemble étrangement à la vraie Diane qu'il connait. Il en parle à Bastien et ils retournent ensemble au musée. Bastien, plus pragmatique, essaie de raisonner son ami. Oui, il y a bien une vague ressemblance, quelques similitudes, mais pas de quoi en faire toute une histoire. Mais il y a aussi cet étrange gardien qui a l'air d'en savoir beaucoup sur cette statue et qui a une attitude bizarre.
Bastien y retourne une troisième fois et là, alors qu'il se trouve seul dans la salle de Diane Chasseresse, une voix s'élève et l'appelle...
UN AGRÉABLE DÉRIVATIF
Polar de Pierre Bassoli
durée: 46 minutes
Nouvelle enquête pour notre détective maison Arthur Nicot. Aujourd'hui, son ami l'avocat Me Philippe Royer doit défendre un homme accusé d'avoir assassiné une jeune fille à la sortie d'une discothèque. Bien que non coupable de ce crime, tout accuse M. Dartois et Nicot va devoir déployer toute sa science pour prouver son innocence et, par conséquent, découvrir le véritable coupable. Tout ceci en essayant d'en dire le moins possible à la police – les rapports sont toujours tendus – mais cette fois-ci, Nicot va devoir en lâcher un peu à l'inspecteur Maurer, histoire de ne pas s'attirer les foudres de l'horrible Charlier...
LES JARRETELLES
Une fantaisie de Pierre Bassoli
durée: 16 minutes
Les jarretelles de la maîtresse sont-elles noires ou rouges ? Et celles de l'épouse légitime, de quelle couleur sont-elles ?
Cruel dilemme que débattent Elle et Lui au lendemain d'une soirée bien arrosée avec en prime un léger accrochage en parquant la voiture. En tout cas, la petite bonne du cinquième en portait, des jarretelles, lorsqu'elle était sur les genoux du voisin M. Tourbier. Mais de quelle couleur étaient-elles ?...
PASSAGES
de Claude-Alain CHESAUX
Drame adapté par Dominique BAERTSCHI
durée: 67 minutes
Mais que veut cette insolente Sophie, prétendument étudiante en histoire, dans ce coin perdu, une dictature de notre temps ? Elle est jeune, déterminée, agaçante. Et capable de dissimulation. Mais ses provocations cachent une pureté de diamant. Elle va mettre au jour un lourd secret, la mort d'un homme en fuite vraisemblablement tué par ses passeurs. Marianne, la veuve qui l'héberge, est choquée par sa liberté et aussi attirée. Prisonnière de sa bigoterie, d'un serment fait à un mourant, elle affrontera pourtant une vérité bouleversante révélant une personnalité forte. Deux belles figures de femmes que tout devrait opposer.
Comment dompter un passé reposant sur le mensonge, telle est l'une des questions posées par cette pièce ?
LA LIGNE DE LA NUIT
Polar
de Pierre Bassoli
durée: 45 minutes
Arthur Nicot, détective privé, amateur de jazz, de « whiskey » irlandais et de jolies femmes est appelé par un de ses amis qui travaille dans une station de radio et qui est inquiet pour l'animatrice vedette de l'émission « La Ligne de la Nuit ». C'est une émission où les âmes perdues et esseulées peuvent déverser en direct sur l'antenne, leur trop-plein de misères et recevoir quelque réconfort. Cette nuit-là, Valérie Demont, l'animatrice, a reçu un drôle de coup de fil et Sébastien, le technicien, pense qu'elle est en danger. Il n'a pas tort car Valérie est retrouvée morte la même nuit.
L'enquête ne se passera pas sans mal car la police est évidemment aussi sur l'affaire et on sait bien que les relations entre les privés et les officiels ne sont pas toujours tendres, notamment avec l'intraitable Inspecteur Charlier...
LE MEURTRE DE LA RUE DES ABESSES
de Dominique BAERTSCHI
Polar
durée: 54 minutes
Ceci est le premier volet de ce qui pourrait devenir une série : « Les enquêtes du commissaire Lafiloche ».
Dans le Paris de l'année 1900, à Montmartre plus précisément, sévissaient côte à côte des bandes de marlous, des maquereaux et leurs gagneuses, des tenanciers de cabarets et des chansonniers tel Aristide Bruant dont la chanson « Rue Saint-Vincent » a inspiré cette histoire.
Le commissaire Lafiloche est chargé, en compagnie de son inséparable acolyte l'inspecteur Bigorniaux, de l'enquête sur le meurtre d'une toute jeune fille trouvée morte, le ventre percé d'un coup de couteau.
L'enquête va rapidement les conduire à l'Hôtel Sébasto, là où se concentre toute la pègre du quartier.
Mais qui a donc tué la petite Rose qui était si belle et qui sentait bon la fleur nouvelle ?...
LE « K »
de Dino Buzzati
d'après la nouvelle adaptée par Dominique BAERTSCHI
durée: 20 minutes
Le jeune Stefano décide un jour de faire de la mer son métier d'avenir. Son père, voyant son fils sûr de lui, l''emmène à bord de son bateau. Ils partent en mer lorsque Stefano prétend voir une forme noire inquiétante dans le sillon laissé dans l'eau par le bateau. Le père lui, ne voit rien lorsqu'il comprend alors ce qui arrive à son fils. C'est le « K » qui a jeté son dévolu sur lui, c'est pour quoi il n'y a que lui qui puisse le voir. Il explique à son fils que cette espèce de poisson mystérieux qui ressemble à un énorme requin traque sans relâche sa victime et ne renonce jamais. Il ramène donc Stefano sur terre et le fait installer dans les terres, loin de la mer.
Stefano ayant grandi, il est riche et ne pense que peu au « K » qui l'a hanté pendant longtemps. Puis il fait ce qu'il a toujours voulu faire de sa vie : être marin. Il arrive donc devant le grand océan et, à sa grande surprise, le « K » l'attend...
LA CINQUIEME DIMENSION
pièce en 4 parties
de Marcel G. PRETRE adapté par Pierre BASSOLI
D'après le roman du même titre
A la fin de leur partie de chasse, trois amis tombent en panne. En attendant qu'on vienne les chercher, ils se réfugient dans le Manoir de la Ravachière, lieu que l'on croit abandonné, mais y sont accueillis par un homme mystérieux qui les installe au coin du feu et leur offre une Fine Champagne.
L'un des chasseurs, Frédéric Bard, est attiré par une statuette au pied de la cheminée représentant un jeune garçon qui joue de la flûte. Le visage de ce garçon lui rappelle un de ses amis d'enfance...
1ère partie : durée 35:10 minutes
Le Garçon à la Flûte d'Or
Frédéric Bard raconte alors à ses amis une visite qu'il avait faite avec sa classe aux arènes romaines de Vienne. Son ami Albert, un garçon timide et réservé, s'était malencontreusement laissé enfermer dans une salle contenant des statues antiques. Dans une vitrine restée éclairée, il avait été attiré par une flûte en or qui avait appartenu au fils du général romain Cirius. Pris d'une impulsion subite, le petit Albert avait brisé la vitrine et s'était emparé de la flûte d'or avant de s'enfuir par un soupirail. Errant dans les arènes il s'était alors trouvé en présence d'une imposante statue romaine qui n'était autre que celle du général Cirius et, ne sachant pas pourquoi, s'était mis jouer de cette flûte, en tirant des sons pas très harmonieux. Cependant, la statue se mit à s'animer et à parler au jeune garçon...
2ème partie : durée 21:03 minutes
Un Étrange Portefeuille
L'histoire de Frédéric Bard a impressionné ses auditeurs et le deuxième chasseur, Armand de Camare, pense que lui aussi a vécu une aventure aussi étrange et quelque peu surnaturelle.
Quelques années auparavant, en vacances aux sports d'hiver, il rencontra un vieil ami, Pierre Masson, qu'il avait connu pendant la Résistance et qu'il n'avait pas revu. Ce dernier était avocat et invita De Camare à assister à un procès durant lequel il devait plaider pour défendre un personnage pittoresque et hors du commun, un vagabond nommé Nestor Plantevin, dit « La Bouteille ». Celui-ci comparaissait pour conduite en état d'ivresse et outrage à agent de la force publique. Parmi les explications farfelues qu'il donna, il raconta qu'il avait trouvé dans les bois un portefeuille duquel il extrayait un nouveau billet de
Mais lorsque de Camare montra ce portefeuille à ses amis, quelle ne fut pas leur surprise !...
3ème partie : durée 28:43 minutes
Une Grand-Mère en Or Massif
Sven Jensen, le troisième chasseur, pense que chacun d'entre nous est amené parfois à vivre dans une sorte de 5ème dimension. Il se met alors à narrer une histoire étrange.
Vingt-cinq ans auparavant, lorsqu'il vivait encore au Danemark, il possédait des chevaux de course. Un jour, il fit la connaissance d'un homme original, Yan Nikobsen, passionné de courses de chevaux et mécanicien de profession, amateur de voitures anciennes. Il voulait à tout prix acheter la vieille Rolls-Royce 1910 qui avait appartenu à la grand-mère de Jensen et qui croupissait dans une grange. Jensen qui ne croyait pas que cette ruine puisse à nouveau rouler un jour proposa à Nikobsen de lui faire cadeau de la voiture si, dans un an jour pour jour, il la lui ramenait réparée et en état de rouler.
Ce qui fut fait et un an plus tard, Nikobsen partait, heureux, au volant de « sa » Rolls lorsque tout à coup, une voix s'éleva derrière lui. Se retournant, il découvrit, assise sur la banquette arrière, une vieille dame vêtue d'une robe en dentelles et coiffée d'une capeline d'un autre temps.
Et ce fut pour lui le début de la fortune... Mais toute fortune a ses revers...
4ème partie : durée 52:33 minutes :
Le Châtelain de la Ravachière
C'est au tour maintenant de François Verrières, le châtelain de la Ravachière qui a acueilli les trois chasseurs dans son manoir.
Il avait terminé son dernier roman – François Verrières était écrivain – et il rentrait à Paris retrouver sa femme. C'était la veille de Noël et il avait hâte de lui faire la surprise, rentrant plus tôt que prévu. Mais la suite il l'avait pressentie puisque, comme le héros de son roman, il trouvait sa femme dans les bras de son amant. Tout comme son héros, il tourna le dos sans un mot et prit la fuite au volant de sa Ferrari, espérant rencontrer en face de lui un dix tonnes qui mettrait fin à son cauchemar.
Il tomba sur un barrage de police. Un accident, avec un dix tonnes justement, mais ce n'était pas lui. Poursuivant son chemin, se trompant de route, il finit embourbé dans un chemin de terre et rencontra un étrange personnage armé d'un fusil de chasse, vêtu comme dans un autre temps, se présentant comme le Comte Audémar de Hauterive. Il l'hébergea, lui présenta sa belle-fille Isabelle dont Verrières tomba éperdument amoureux. Elle était la veuve du fils du Comte qui se prénommait François, tout comme lui ! Coïncidence ?
Une nuit, alors qu'il allait enfin connaître la félicité avec sa bien-aimée, celle-ci disparut subitement, comme évaporée... Il se réveilla au volant de sa voiture toujours embourbée.
Avait -il rêvé ? Ou alors était-ce lui qui avait eu cet accident avec le poids-lourd et il était déjà mort ?
Sven Jensen aura la réponse à ces questions lorsqu'il sera revenu de cette partie de chasse et de cet étrange rendez-vous au Manoir de la Ravachière.
101 KILOMETRES AU-DELA DE MOSCOU
durée 20:04 minutes
Passé cette ligne fatidique des
Une fresque dépeignant sans concession une contrée où la civilisation s'est évanouie, où le temps semble s'être arrêté il y a cent ans.
LE SEUL TÉMOIN
polar
de Pierre BASSOLI
C’est la première pièce d'une série policière mettant en scène le commissaire Poulain et son adjoint l'inspecteur Bidaud.
Bertrand Gaudin est au chômage. Il habite une petite ville de province où tout est bouché et, lassé des échecs qu'il essuie depuis de nombreux mois, il décide de se rendre dans la grande ville la plus proche pour tenter sa chance. Il prend une chambre dans un petit hôtel modeste mais dès la première nuit il est, bien malgré lui, le témoin auditif d'un meurtre qui a lieu dans la chambre voisine de la sienne. Il lui vient alors une idée qui lui permettra peut-être de se sortir de sa situation minable de chômeur en fin de droit...
Partie 1
Partie 2
L’AGENDA DE LA MORT
polar
A l’enterrement de son oncle Adrien, Christian Reilhac remarque une curieuse couronne qui a été déposée parmi celles de la famille avec cette inscription mystérieuse : Les Archéos à notre frère. Deux jours plus tard, à Saint-Cernin, dans la maison qu’habitait son parent, Christian découvre dans les papiers de son oncle une pile d’agendas quasiment neufs avec quelques vagues notes ou un numéro de téléphone par-ci, par-là. Pourquoi acheter tant d’agendas pour ne pas s’en servir ? Hervé Bessenay, son ami d’enfance et Pedro, le patron du seul bistrot de Saint-Cernin, le mettront-ils sur la voie du mystère qui plane au-dessus de ces « Archéos » ?
LA PAROLE EST D’OR
polar avec le commissaire Poulain
Tout est dit dans la phrase citée en exergue de cette pièce : " On dit souvent que le silence est d'or et la parole d'argent. Mais dans cette histoire, on voit que la parole est d'or et que le silence peut être… fatal. "
Le commissaire Poulain et l'inspecteur Bidaud, sont confrontés au témoin d'un meurtre qui est muet.
Ce clochard ne parle plus parce qu'il a tellement encaissé de mauvais coups dans sa vie qu'il a décidé de se taire. Pour la justice, un simple hochement de tête lorsqu'on lui désigne cet assassin suffit-il pour l'arrêter et l'inculper ? Pas sûr… Ce sera donc à nos deux policiers d'essayer de faire reparler ce témoin muet…
LE COURS DE L’HISTOIRE
fantastique
de Pierre BASSOLI
Qui ne voudrait pas, un jour ou l'autre, modifier le cours de l'histoire ?
Une nuit, un homme est agressé dans une rue déserte et meurt, assassiné d'un coup de couteau. Il se réveille dans un endroit où l'on attend: le purgatoire peut-être. Il y ronge son frein, indigné par ce qui lui est arrivé, jusqu'au jour où on lui annonce que son agresseur, condamné à mort pour son geste, vient d'être exécuté et va arriver incessamment. Et si on pouvait recommencer, redescendre sur terre pour changer le cours de l'histoire? Ça vaut la peine d’essayer, se dit le Très haut...